Quand te reverrais-je ? [ PV ]

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Privé Avec Houna Linaë

Là-bas loin loin, loin de toi j'ai besoin, de ta force et de ton soutient
Loin loin, loin des yeux et loin du cœur
Là-bas, tout près du pire très loin du meilleur.

# La surface du lac gelé reflétait le soleil qui envoyait ses rayons sur le paysage blanc. La neige brillait, aveuglante. Des oiseaux s'étaient posés sur la branche d'un grand sapin. Ils s'envolèrent, effrayés par un colosse qui marchait d'un pas pressant. C'était un tinker âgé de 6 ans. Jusque là, rien de mal. Ce qui était étonnant chez cet étalon était sa taille. Le cheval mesurait deux fois la taille d'un étalon normal. Ça aurait pu s'arrêter là si il n'était pas doté de muscles qui auraient pu faire pensé à de l'embonpoint. Il se nommait Mahäl, un nom qu'on ne rencontrait pas souvent sauf dans les plaines d'où il venait. Mahäl marchait, regardant autour de lui, le regard baissé. Il fit claquer son sabots d'énervement. Il était venu ici pour retrouver sa meilleure amie et qu'avait il trouvé? Des terres plus désertes les unes que les autres. Il souffla de rage. Puis il vit un lac. Il s'approcha doucement.

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Je lance le dé. Pervers

Le membre 'Mahäl' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Scénario 1' :
Quand te reverrais-je ? [ PV ] Face4

De bon matin, j'avais entrepris une petite excursion matinale. Je trottais avec grâce, donnant une impression de laisser allez dans ma façon de me déplacer. Quand on me voyais mouver au loin, on ne pouvais hésiter sur la personne : on savait bien qu'il s'agissait de moi. Mon regard vagabondais sauvagement sur le paysage, je progressais avec une allure souple à travers les terres libres, quoi de plus amusant que de terroriser quelques personnes. Et bien oui, c'était ainsi que j'étais. Une vrai peste. Une chieuse. C'était dans ma nature. Et j'aimais mon caractère. Je parvenais à me localiser, je n'étais plus vraiment loin du lac, et à vrais dire, j'avais bien envie d'y aller m'y amuser. Alors, j'avais pris un grand galop, souple et rapide, et me dirigeais donc vers le lac. Quelques secondes après, je pillais net, et observais avec fierté les alentours. Ces terres étaient magnifiques, vastes, sans aucunes limite. C'est ce que j'aimais, ici. Que tout soit libre ainsi. Bien que nous étions quand même composé de deux clans qui se trouvaient en guerre, j'aimais cet endroit. Cette façon de vivre. Mais bien que pour le moment, aucun clan n'ai vraiment de dominant. Ce poste pourrais d'ailleurs s'avérer intéressant, bien que j'étais encore un peut en retraite à propos de cette idée. Moi, à la tête d'un troupeau ? Cela serais surement trop hum... non solitaire, je n'aimerais surement pas. Je préférais tant rester libre. Mes naseaux avaient bien vite perçu une odeur familière, et je cherchais donc après l'équidé en question... Qui était-ce donc ?

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# Mahäl s'était approché du lac et avait regardé longuement à la surface de l'eau. C'était peut être l'effet du soleil mais il cru voir un visage familier. Le pie dilata ses naseaux. Il faisait chaud et l'étalon avait une irrésistible envie de plonger dans le lac. Cependant, quelque chose l'avait stoppé, en effet, il avait sentit des sensations sur sa peau. Comme une main humaine qui caressait son pelage rebelle. Mahäl se retourna, sur le qui-vive et ne découvrit rien d'autre qu'une silhouette, trop lointaine pour être ce qu'il l'avait touché. La tête haute, il décolla ses sabots du sol pour avancer vers la silhouette. Il distinguai nettement le cheval qui s'avérait être une jument, quant un souvenir lui revint en mémoire.

C'était une magnifique journée d'été. Une de ses journées qui vous donne envie de dormir jusqu'au lendemain. Mahäl s'était endormi près d'un lac et quand il s'était réveillé, une silhouette avait commencé à le houspillé, à l'insulter. Quand cette silhouette était sorti de l'ombre, il avait découvert une jument assez musclée. C'était malheureux mais je jeune cheval avait eu peur et était parti en courant.

Mahäl blanchit en se rappelant ce souvenir. Il poussa un hennissement haineux qui résonna pendant deux longues minutes.

" Comme le monde est petit... "

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C'était bien elle, cette jument au cœur de pierre qui avait briser le mien. Cependant, j'avais eu le temps de m'endurcir. Je n'étais plus le même. Je n'étais plus ce grand poulain naïf et trouillard. J'avais appris qu'il fallait se battre et ne pas laisser tomber à la moindre pisse de travers. La jument pose ses lèvres sur les miennes. J'hennis.

Tu as raison, cela ne me plait pas. Néanmoins, je ne te laisserais pas m'avoir chère Houna. Je jouerais ton jeu. A toi de ne pas aimé. Je fixe ton regard, aucune haine ne vient troubler le mien. Je secoue mon toupet et m'approche de ta croupe. Tes chaleurs emplissent mon nez. Cependant, ta queue cache les effluves. Je pose mes lèvres sur ta cuisse et te mordille l'endroit. Puis, je me recule. Avoue, tu n'hésiteras pas à m'attaquer ?

[ C'est un plaisir de faire un sujet avec toi ]

" Que cherche-tu à faire ? "

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[ Moi aussi XD. T'veux que Mahäl passe à l'acte ? ]

Je respirais avec difficulté. Je respirais avec difficulté car un m'avais chopé les naseaux. Tu as du y mettre toute ta force car l'air ne voulait plus passer. Mais, malheureusement pour toi, j'étais un étalon, fort et puissant. Je me dégageai sans difficulté. Qu'est ce que je voulais ? Tu l'auras deviné ce que je voulais. Je voulais te faire payer. Je voulais que tu ai peur de moi. Je voulais voir la peur dans ton regard. Je voulais te faire payer. Je plongea mon regard dans le tien. Celui-ci trempait dans la manipulation, me faisant voir tes désirs. Je retourna derrière toi et avec vitesse, je me cabrais mais retombais à coté de toi. Ça y est ? Tu as deviné ?

J'avais envie de faire souffrir cette jument. Jusqu'au plus profond de mon âme j'en avais envie. Les chaleurs tombaient à pic. Je voyais qu'elle s'énervait mais pas assez à mon gout. C'était la reine de la manipulation, j'étais son prince. Je me mis à tourner autour d'elle. JE la frolais avec ma queue et j'en éprouvais un certain plaisir. C'est ça qui devait l'énerver.

[ HRP : Méchant topic ! 'cause de ton titre j'ai dans la tête: " Quand te reverrais-jeuuu , pays merveilleuuuux, des gens qui s'aimeuuu , son coincés sur l'télésièèèèèège " x___X'
Désolée de cette intrusion , je sors Hahaha !

Supprimez mon message si ça pose un problème x) ]

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[ Moi j'ai pensé à : Mais quand reverrais-je de mon petit village . C'est pas ma faute, c'est la prof de musique Pervers

]

[ XD
J'vous laisse maintenant que j'ai dis c'que j'avais à dire =P Bon topic x) ]

Invité

Tandis que je continue à lui tourner autour, je la voix frissonner. Cela ne dure qu'une seconde car la seconde d'après, elle a repris son air froid. Je souris. Une fois devant la jument, je la fixe dans les yeux.
< On n'a inversé les rôles maintenant ? >
Cette délicieuse pensée m'assaillit. Je continue mon petit manège jusqu'a me retrouver derrière toi. Je n'aie qu'un mot dans la tête : vite. Car il ne faut pas que tu ais le temps de réagir. Alors vite, je me cabra et cette fois, j'atterris sur ta croupe. J'aurais tellement voulu être dans ta tête à se moment là. Pour sentir ton niveau de mal aise. Je suis sure que toute la haine du monde est dans ton cerveaux en ce moment. Alors, férocement, j'attrape une troupe de crins que je tire au point de les arracher. Puis, je commence la saillie. Tu as compris maintenant, pour je suis un Slikos et pas un demeuré de Menas. Tu as compris pourquoi je souhaite être dominant.

Mon regard se remplie d'une haine profonde. Tes paroles ne me plaisent guère, à vrais dire. Je te fixe, sans te lâcher juste une seconde, mais quand tu t'approche de mon extrémité, j'ai du mal à toujours t'observer. Je le sens mal, ceci. Que fait-tu derrière moi ? Et sans que je n'ai le temps de comprendre, te voilà sur moi, tentant d'en finir avec ce que tu souhaite depuis le début : une vengeance. En te sentant sur mon dos, je tâche de me libérer de ton poids, en avançant de quelques pas, mais rien n'y fait. Tu sais maintenir une jument pendant cette acte que tu tente de répéter avec moi. Tu crois que je vais me laisser faire ? Tu ne m'a pas regarder. Je sais que tu va tenter d'aboutir à la fin de cette abominable saillie qui débute, je le sais. Mais tu ne peut y arriver, je suis bien trop forte, je suis une rebelle. Ne l'a-tu pas encore compris ? Et puis tu sais, je ne suis pas une vagabonde pour rien, j'ai toujours désirer faire ma loi, et c'est le projet que j'ai, très cher. A ce moment, une immense haine prend possession de moi, et je tourne au maximum mon encolure vers toi, afin de te choper de mes dents au niveau de ton épaule gauche. Et à l'instant où je sens ta peau sous mes canines, je sers avec toute la rage qui ruisselle en moi. Au bout de quelques secondes à peine, un liquide s'écoule lentement sur ta peau : ton sang. Je t'avais bien dit que je ne serais pas une victime facile. Je ne suis pas Houna pour rien, mon gars. Je sais ce que tu veut être, ce foutu poste de dominant, tu veut te l'attribuer, pas vrais coco ? Mais je t'y vois très mal, dominant. Ta pas le mental pour. T'es bien trop touchable. Tu ne tiendrais même pas une semaine, j'en suis certaine. Mes dents se touchent presque à travers ta peau blanche, que bientôt, j'aurais arraché. Alors, sa fait quoi d'être piégé entrain de piégé ? C'est bête hein. T'avais pourtant l'air moins idiot que ça. Mais je me suis trompée, t'a pas changé. Toujours aussi con et irréfléchis. C'est pitoyable. Dépitant. Désolant. Dire que t'aurais pu devenir aussi fort que je le suis. Mais le fait que tu veuille être dominant réduis tout espoir pour toi. T'es pas digne d'être comme moi : je suis la reine de la manipulation, ne l'oublie pas. Alors, si tu crois que me saillir va me faire changer, tu te fous ce que tu veut où je pense. Et profondément même.

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Je rugis lorsque la jument me chope l'épaule gauche. Elle sert tellement fort que je sens ses dents traverser ma peau. Je souffres mais je finirais ce que j'ai commencé. Je fais le plus vite possible et j'y arrive. Cela tombe bien car les dents de la jument viennent de claquer, emportant avec elles un gros morceau de peau. Je suis obligé de descendre. Mon regard s'emplit de rage, bientôt, je ne me contrôlerais plus. Je sens déjà la haine prendre possession de moi.

Je ne sais même plus comment tu t'appelles, ni se qui te lie à moi. Tout ce que je sais, c'est que je dois te tuer. Ou te blesser. Je ne me rappelles même plus pourquoi je dois le faire. C'est une impression très bizarre. C'est ce que la haine fait sur moi. Elle s'empare de mon cerveaux tout entier. & de mon corps aussi. Tout en moi lui appartient. Elle et moi ne faisons qu'un. Alors, presque comme dans un rêve, je fais claquer mes dents sur ta jugulaire et me cabra, emportant ton corps avec moi. Je te traînes encore et encore. Un mouvement et tu meurs. Mais ce n'est plus Mahäl qui te tient. C'est le diable.

N'up ?