Souvenirs [ Libre ]

Invité

Libre

Je suis un enfant de la ville, je suis un enfant du bruit
J'aime la foule quand ça grouille, j'aime les rires et les cris
J'écris mon envie de croiser du mouvement et des visages
Je veux que ça claque et que ça sonne, je ne veux pas que des vies sages

# Un paysage en ruine... Voilà ce qui décrivait cet endroit. Les ruines des vielles maison des bipèdes couvraient le sol de l'endroit. Même les arbres étaient en ruines. Mahäl donna une ruade à l'un d'eux qui s'écroula. L'étalon renacla et avança vers la ville. Certains immeubles étaient mieux conservées que d'autres laissant découvrir les restes de meubles qui avait appartenu à ces animaux à deux pattes. Personnellement, Mahäl n'en avait jamais rencontré. Mais il avait entendu les récits d'un vieux cheval qui les avait aperçut. Et d'après ce qu'il en avait dit, c'était des êtres cruels et dépourvus de bon sens. Mahäl déplaçait sa grande taille dans les rues qui se dessinaient encore à travers la villes. Il était méfiant, il ne tenait pas à rencontrer un de ces humains. Des vieux déchets étaient bercer par le vent, usés pas le temps. Mis à part l'atmosphère emplie de nostalgie, l'étalon se sentait bien ici.

Invité

Vagabondant de terres en terres je finis par trouver mon bonheur. Ralentissant le rythme de ma démarche, j'étais à présent satisfait de ces terres. J'étais un nouvel arrivant. Sachant que je n'étais plus seul sur les vastes terres d'Amarine Landka, une onde a griffé ma trachée et une douleur sourde a tapissé ma gorge. Un hénnissement. J'avais hénnis. Mon corps en avait besoin. Il fallait que je me déffoule et que je dérouille mes jambes endoloris. C'est alors que d'une simple pulsion de posterieurs, je me retrouvais soudainement à galoper vif comme l'éclair parmis l'abondante végétation. Une fois ma dose d'adrénaline prise, je me stoppais d'un geste vif, le souffle coupé. J'humais l'air et laissais un petit frisson parcourir mon corps. J'étais arrivé à la ville en ruine. Mais j'étais cependant seul. Ayant pas un chat dans les environs, je me dirigeais vers un arbre au grand feuillage vert et allais me reposer tout en gardant un oeil ouvert. C'est alors que j'entendis un bruit sourd. Je hoquetais de surprise, et balayais l'horizon de mon regard encré. Je soufflais des nauseaux et claquais des dents. Une odeur inconnue, équine et masculine me parvint aux naseaux. Je plaquais mes oreilles contre ma nuque et serrais les dents. J'avais les naseaux pinçés, et je restais immobile, droit, et froid. Je poussais un petit gémissement et secouais ma lourde tête. Je frottais légèrement le sol sablonneux de mon sabot droit, quand j'aperçus soudainement une silhouette équine, au loin.

Invité

# Mahäl continuait de marcher dans la ville. Le soleil venait de percer d'entre les nuage dévoilant de nombreux grains de poussières. Juste à ce moment là, une rafale de vent envoya la poussière voleter dans les naseaux du pie. Il éternua. Il se stoppa net. En éternuant, il avait tourner la tête vers un grand arbre sous lequel se trouvait une silhouette équine au pelage gris. Mahäl ne pouvait pas humer l'air à la recherche de l'odeur du cheval, au risque d'étouffer. Mahäl marcha doucement vers le cheval, les oreilles couchées, le regard froid. Il s'arrêta à deux ou trois mètres de lui. Le gris n'avait pas l'air des Slikos. Donc, Mahäl ne voyait pas pourquoi il serait amical avec lui. Si il avait été admis dans les Slikos, c'est qu'il était mystérieux et froid. Mais il était froid à cause de sa grande taille. En effet, le tinker dépassait d'un mètres la plupart des chevaux de sa connaissances. Mahäl portait toute son attention sur le gris.

Invité

L'inconnu se dirigeait vers moi, muni d'un regard glacial. Je restais indifférent, arquant légèrement un sourcil. Je soufflais des naseaux et laissais sur mon visage, s'afficher un petit aair de degoût, juste avant qu'un rictus narquois prenne place sur mes lèvres. Lui, s'avançait vers moi, et moi, je restais à ma place, le regard hautain. Bien qu'il soit légèrement plus grand que moi, je n'avais aucunes difficultés à le regarder de haut. Désormais, on ne voyait plus mes oreilles luisantes ; elles étaient enfouies dans ma crinière et plaquées contre ma nuque gelée. Mes temps étaient sérrées, ainsi que ma machoire. Quelques vaines de mon encolure se laissaient voir, et la petite flamme qui était en moi se transforma en feu ravageur. Qu'est-ce qu'il me voulait celui là ? Je ne l'avais pas apellé. Pourquoi venait-il vers moi ? Je ne lui avais rien demandé. Mon visage s'endurcit, et j'entrouvris ma bouche. J'avalais une gouffée d'aair, essayant d'être calme. Ma seule envie était de lui sauter dessus. Je n'aimais pas la façon dont il me regardait. Mais je pris sur moi même, j'arrivais à me contrôler. Mes membres tremblaient légèrement, quelque chose de psychologique. Je ne me sentais pas très alaise j'avais de la compagnie. Et surtouut celle d'un étalon ... La compagnie d'un autre étalon, celà me gênais, car généralement ceux-ci se croyaient pour le centre de la Terre. Alors qu'ils ne sont que des parasites dans la société. Je poussais un long et profond soupire, prenant un air lasse.

Invité

# Mahäl n'avait pas encore regardé de très près l'étalon qui lui faisait face sinon il n'aurait pas réagi ainsi... Erreur réparée puisque que le pie regarda longuement le stall', la tête légèrement tournée. Puis soudain, un souvenir lui revint en mémoire.

C'était un après-midi d'été. Un de ceux qui vous paralyse les membres et vous n'avez d'autres choix que dormir. Mahäl s'était assoupi le long d'une rivière. Quand il s'était réveillé, il s'était étiré. Dévoilant sa grande taille. Mais, il n'était pas seul et il entendit des voix le traiter de grande perche. Il s'apprêta à répliquer quand un cheval gris l'avait défendu. Une baguare avec ses agresseurs avait failli démarrer. Mais elle n'eut pas lieu vu que les moqueurs fuyérent. Mahäl avait dit :
< J'espére qu'on se reverra > A son " défendeur ".

< Azz, c'est toi ? >

» / Les sujets libre.
» Know Your Enemy ~ Libre